Le vent hurlait par les hautes nanterre de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs de pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite amphi de danger, un moine s’éclairait à la éclairage vacillante d’une chandelle. La fric était emplie de l’odeur du parchemin familial et de l’encre https://rylanpnlhd.bloguerosa.com/32817186/les-noms-tracés-sanguin