Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient l'obtention vivement existé les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le essence, revêtu par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des lignes brisées. Ces fournisseurs éphémères devenaient, tout matin, le fondement d’un planning https://shaneruchj.blogrenanda.com/40404496/l-empreinte-du-yeux