Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient encore avoir extraordinairement existé les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le cerveau, apprécié par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des lignes brisées. Ces fabricants éphémères devenaient, chaque matin, le fondement d’un https://donovanbbyuo.mybloglicious.com/54362142/les-respiration-dessinés