En 1953, au cœur d’une Pologne figée dans le vacarme de l’après-guerre, la petite gare de Królów n’accueillait plus nul voyageur. Les rails rouillés, les quais vides, les horloges arrêtées depuis toujours formaient un théâtre solitaire que seule occupait Jadwiga, antique guichetière restée par amitié au lieu. Chaque quantième, elle https://chancetjwjv.blognody.com/36015117/les-passagers-sans-pseudonyme