Les nuits se succédaient dans la vallée andalouse, calmes en esthétique mais chargées d’une tension silencieuse. Ana poursuivait ses temps, habitée par une diversité d’émerveillement et de culpabilité. Chaque soir, dans le jardin parfumé par le jasmin, elle libérait délicatement ses papillons nocturnes, adoptant bien leurs vols soigné mais funestes. https://beauempqp.ampblogs.com/les-ailes-du-calme-71047933